mercredi 30 avril 2025

Mon classique du mercredi : Le Renoncement, de Franz Kafka

Le Renoncement est l’un des tout premiers textes que j’ai lu de Kafka, puisqu’il figure, traduit par Jean Carrive, dans l’édition Folio qui regroupe La Muraille de Chine et d’autres récits, que j’avais choisie par hasard, puisqu’il fallait que je lise Kafka. J’ai souvent commencé la lecture des auteurs qui m’ont vraiment marqué par des œuvres moins connues du grand public (Bouvard et Pécuchet pour Flaubert, par exemple) ; je ne saurais pas dire pourquoi, sauf que sans doute ça n’avait pas beaucoup d’importance. Je me souviens de ce texte ; je peux dire qu’il m’a marqué. Je ne sais pas si j’y ai compris quelque chose ; je ne crois pas que comprendre avait beaucoup d’importance pour moi. Je pense encore que comprendre n’a pas beaucoup d’importance en littérature. Il y a tellement de façons de comprendre (je veux dire, autrement qu’avec la seule intelligence). Les comédiens doivent-ils comprendre avec l’intelligence les textes qu’ils interprètent ?

Le Renoncement est l’un des tout premiers textes que j’ai lu de Kafka, et aussi l’un des derniers qu’il a écrit, en 1922. Il est très court ; je le lis en entier.



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