Je n’ai jamais fini de revenir à Beckett. Mercier et Camier, son premier roman écrit en français, petite merveille encore trop méconnue je crois, l’était encore bien davantage à l’époque où il servit d’argument principal au spectacle monté en 1981 par les lycéens de Danielle Auby, dont j’ai déjà parlé ici et là. Quand je le relis, je sens bien qu’il a laissé des traces dans mon travail.
Une fois n’est pas coutume, je n’en lis pas un passage d’affilée ; je feuillette le début.
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