mercredi 28 mai 2025

Mon classique du mercredi : Koubla Khan, de S.T. Coleridge

Je ne peux pas ne pas évoquer la poésie de Coleridge, notamment Le Dit du Vieux Marin et Koubla Khan, que je découvre à la même époque qu’Aloysius Bertrand, au tout début de mes études. Mon anglais ne me permet d’en dire correctement plus que quelques vers sans préparation préalable, aussi l’introduction de Kubla Khan suffira. Le texte m’a tellement marqué qu’à l’époque j’en écris une adaptation en français et en alexandrins. Ce travail a donné lieu beaucoup plus récemment à un essai qui est aussi, à sa manière, un poème et qui est aussi non pas une mais trois traductions, Trois ductions de Koubla Khan, paru dans la version papier de la belle revue Catastrophes, mais qu’on peut encore lire ici, ici et . Ce numéro de Catastrophes avait aussi donné lieu à une soirée de lancement à la Maison de la Poésie de Paris ; l’enregistrement est ici et c’est justement avec Koubla Khan que cela commençait.



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