Noyer le poisson est une pratique aussi commune à la politique qu’à la pêche. Jean-Frédéric
et ses amis espéraient nous faire oublier ses cinq voix d’avance lors des dernières législatives à Rambouillet – il n’y en a plus qu’une après le décompte des Sages, et tout est à refaire. On se réjouit de retourner
aux urnes, et si l’on est déjà parti se mettre au vert à l’heure du second tour, on aura pris soin de confier sa voix à qui saura la faire entendre.
Commentaires
Suppléant de Christine Boutin, c'était aller au casse-pipe !
La concurrente verte, qui a sans doute quelque chose d'Anne Roumanoff en elle, peut se réjouir : il paraît que le poisson (en eau de mer ou
eau douce) pourrit par la tête.
Ça c'est un beau poisson!! Mazette!! Bon, le physique ne veut rien
dire mais une chose est certaine c'est que j'ai cru un instant que vous
aviez fait un billet sur... non, rien... pas le
physique! :)
Commentaire n°2
posté par
Depluloin
le 22/05/2010 à 12h07
Ce que j'aime dans cette photo, c'est l'évident inconfort du siège.
La concurrente verte, qui a sans doute quelque chose d'Anne Roumanoff en elle, peut se réjouir : il paraît que le poisson (en eau de mer ou eau douce) pourrit par la tête.
(Quand même, se faire arrêter pour fraude fiscale ; on dira ce qu'on voudra, ce type était un précuseur.)