tag:blogger.com,1999:blog-8923460729971124420.post5760497984573849469..comments2024-01-22T19:15:42.593+01:00Comments on Hublots: Mon jeune grand-père (59)Philippe Annocquehttp://www.blogger.com/profile/08748664919717349319noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-8923460729971124420.post-33772538819580182282014-11-19T19:43:51.331+01:002014-11-19T19:43:51.331+01:00Oui, moi aussi je suis coutumier du fait. Je crois...Oui, moi aussi je suis coutumier du fait. Je crois vraiment que l'écriture appelle l'écriture, c'est comme une force d'inertie qui nous dépasse.Philippe Annocquehttps://www.blogger.com/profile/08748664919717349319noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8923460729971124420.post-10442280152886163252014-11-19T19:20:50.782+01:002014-11-19T19:20:50.782+01:00"... comme si la possibilité d’écrire appelai..."... comme si la possibilité d’écrire appelait l’écriture."<br />Très belle phrase d'écrivain.<br />"Edmond réduit ses interlignes, conscient qu’il aura un peu plus à dire qu’il ne le croyait,"<br />Cela arrive souvent quand on envoie des cartes postales à ceux qu'on aime (cela m'arrive encore), on la commence de notre belle écriture, ample, puis on resserre le tout et pour finir nous remplissons le moindre espace... dans tous les sens. Notre beau texte, celui que nous pensions écrire, devient un brouillamini peu présentable mais... les amis comprendront... que notre coeur a débordé, d'affection. Ambrenoreply@blogger.com