tag:blogger.com,1999:blog-8923460729971124420.post357922477530617214..comments2024-01-22T19:15:42.593+01:00Comments on Hublots: écrire c’est lire encorePhilippe Annocquehttp://www.blogger.com/profile/08748664919717349319noreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-8923460729971124420.post-48203851681245372442016-01-30T17:25:23.646+01:002016-01-30T17:25:23.646+01:00Ah oui, être vampirisé par ses lectures, c'est...Ah oui, être vampirisé par ses lectures, c'est un risque aussi. Veiller à rester soi n'est pas une mince affaire, c'est si insaisissable.Philippe Annocquehttps://www.blogger.com/profile/08748664919717349319noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8923460729971124420.post-5253345764713346942016-01-30T07:51:55.534+01:002016-01-30T07:51:55.534+01:00C'est étrange car, en ce qui me concerne, c...C'est étrange car, en ce qui me concerne, c'est totalement l'inverse. Je n'écris jamais autant que lorsque je ne lis pas. Comme si les mots des autres s'accaparaient les miens. Et puis c'est la peur. Peur qu'en écrivant après avoir lu, ce soient "l'esprit" de celui que je viens de lire qui passe dans mes doigts (je tape à la machine à écrire, à l'ancienne). Je ne suis jamais autant moi même sur le papier que lorsque je suis vide de toute présence littéraire. Comme quoi, chacun sa façon de bosser les mots.<br /> Fabien Mirashttp://fabien-miras-blog-numero1.blogspot.com/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8923460729971124420.post-7232933008547780552016-01-29T08:53:58.173+01:002016-01-29T08:53:58.173+01:00A propos de Beckett, justement, j'ai eu cette ...A propos de Beckett, justement, j'ai eu cette année une expérience tout à fait différente avec Molloy de celle que j'évoquais à propos de Mercier et Camier dans cet article de 2011. Molloy m'a au contraire paru extrêmement semblable qu'à la première lecture, au point que j'avais l'impression de me retrouver à l'époque même de cette première lecture : rien n'avait changé. Je pense que ça doit moins aux textes qu'à l'âge : j'ai lu Molloy vers vingt ans (après plusieurs autres romans de Beckett), Mercier et Camier vers 17-18 et ça devait être le premier ; entre les deux il a dû se passer des choses.Philippe Annocquehttps://www.blogger.com/profile/08748664919717349319noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8923460729971124420.post-42306176513459678542016-01-28T20:01:49.683+01:002016-01-28T20:01:49.683+01:00Belle chronique. Je partage de façon pleine et ent...Belle chronique. Je partage de façon pleine et entière votre sentiment de fierté d'appartenir au petit cercle des quelques centaines de lecteurs de Patrick Laupin des quelques milliers d'Eric Chevillard, de Claude Simon, de vous-même et de quelques autres (quand même)... Pour ma part n'ai cependant jamais pu relire (et relire encore et toujours !) que l'immense Claude Simon (même pas réussi avec Beckett ou Pinget ou d'autres que j'admire pourtant...)DomdeLyonnoreply@blogger.com